National Foot 1: l’attente qui agace les passionnés de football gabonais

Alors que le calendrier sportif s’active un peu partout dans le monde, le championnat national de football du Gabon, le National Foot 1, n’a toujours pas donné le signal de sa reprise. Une situation qui intrigue, inquiète et frustre à la fois les observateurs et les amateurs du ballon rond.
Une rentrée sportive qui tarde
Habituellement très attendu par les supporters, le coup d’envoi du National Foot 1 n’a pas encore été fixé. Aucune communication officielle n’a filtré, laissant planer un flou sur la saison 2025-2026. Entre les clubs qui peinent à planifier leurs préparations et les joueurs impatients de retrouver la compétition, l’attente devient pesante.
Les interrogations des observateurs
Pourquoi ce retard ? Est-ce lié à des questions d’organisation, de financement ou de calendrier ? Pour l’heure, aucune réponse claire n’est apportée. Ce silence entretient les spéculations et nourrit les débats dans les milieux sportifs. « Tic tac tic tac bientôt la reprise du championnat national », a publié ironiquement Fodé TV News, un blogueur sportif sur les réseaux sociaux, dont le contenu est axé principalement sur le football local. « À quand la reprise du National Foot dont sont issus Ibrahim Ndong, Kila Onfia et bien d’autres« , s’interroge Femme de Sports, blogueuse sportive avant d’ajouter avec insistance: « Il y a des talents au pays ».
En attendant le coup d’envoi
À ce jour, aucune date n’a été avancée pour le lancement du National Foot 1. Les regards restent tournés vers les autorités sportives, qui devront bientôt éclaircir la situation. Une chose est certaine: les passionnés de football gabonais n’attendent qu’une chose, voir enfin rouvrir les stades et vibrer au rythme du championnat.
Vivement que la Ligue nationale de football professionnel du Gabon (Linafp) sorte de sa réserve pour éclairer les acteurs, les observateurs et le public, toujours dans l’obscurité. En principe, le programme de la reprise devait être connu depuis bien longtemps. Cette situation pourrait jeter le discrédit sur le football gabonais auprès de la Confédération africaine de football (CAF) et de la FIFA.